Carlos, un Mexicain à Paris
Après une première expérience professionnelle à Paris, Carlos, jeune Mexicain passionné par la géopolitique, décide de rester encore un peu à Paris pour y étudier. Découvrez son parcours !
Carlos Chaparro
Cela fait déjà trois ans que Carlos habite à Paris. À 29 ans, le jeune Mexicain présente une trajectoire originale qui l’a conduit jusqu’aux bancs de l’Institut Catholique de Paris.
Un apprentissage progressif du français
En arrivant du Mexique en 2019, Carlos s’installe comme
jeune homme au pair et
s’initie au français «
dans une association pour l’apprentissage de la langue ». Puis, avec le confinement, il utilise différentes méthodes pour approfondir sa connaissance de la langue : «
j’en ai profité pour continuer d’étudier le français avec des séries sous-titrées et en écoutant des stations de radio », explique-t-il.
Jugeant cela insuffisant, il recherche un organisme de formation pour lui permettre d'atteindre un meilleur niveau de français et découvre
l’Institut de Langue et de Culture Françaises (ILCF), sur le campus de l’ICP. «
J’y suis resté 1 semestre.
Cela m’a beaucoup aidé. J’avais des professeurs incroyables aux méthodes très diverses, ils étaient également très disponibles et toujours à notre écoute », indique le jeune homme. C’est ainsi que Carlos rencontre des amis venant du monde entier : «
c’est toujours intéressant de rencontrer des gens d’autres cultures et d’apprendre ensemble », dit-il.
Une poursuite d'études à l'ICP
Convaincu par «
la qualité des professeurs et le potentiel du campus », le jeune mexicain commence à se poser la question d’entamer un
master à l’ICP. «
J’ai pris la décision de m'inscrire dans le master Géopolitique et Relations Internationales », indique-t-il, avant d’ajouter : «
j’adore le fait qu’on soit peu d’étudiants dans le master. On a une très bonne communication et entente entre camarades et aussi professeurs sont des experts en la matière », explique Carlos, ravi.
«
On travaille bien quand on a des travaux de groupe et cela aide pour l’intégration. La promo n’est pas fragmentée et pour les professeurs, je suis un étudiant comme un autre », raconte Carlos. Il relève également la gentillesse du personnel administratif et des personnes qui s’occupent de la cafétéria de l’université : «
ça motive à continuer de venir sur le campus et à créer des relations ! », confie-t-il, très enthousiaste.
Même s'il reste très attaché au Mexique, Carlos s’est rapidement adapté à sa nouvelle vie parisienne. «
J’adore mon pays et ses habitants, mais la qualité de vie ici et la sécurité sont meilleures », confie-t-il. «
Ce que je préfère faire à Paris ? Des balades à vélo ! J’en profite pour mieux découvrir la ville. Dans les transports en commun, ce n’est pas pareil », observe-t-il, avant de conclure que «
la meilleure période à Paris, c’est quand même l’été ! ».